La frontière est ténue entre mon travail d’ébéniste et celui de sculpteur. Ce travail comme la passerelle de la conception de l’objet utile à l’objet d’art.

Surgit d’une idée, elle prend forme sur un papier. Il suffit d’un simple crayonné, une essence de bois, la présence d’une matière… Alors, l’œil ne perd aucun détail, les gestes vont à l’essentiel, guidés par cette conviction intérieure. La pièce laisse rapidement le croquis aux secrets d’archives à idées.